In deze dwars maakt een waaier aan stemmen zich zorgen over de Franse taalbeheersing bij jongeren. Als tweedecarrièrestudent met een verleden als student Frans schiet de pijn als een bliksem door mijn hart. Actie dringt zich op.
Vous vous demandez naturellement la question ultime : pourquoi j’écris cette chronique en français ? Ah, c’est évident : les jeunes, donc vous, vous et vous, lisent et parlent trop peu le français. En fait ce n’est pas ma responsabilité. Mais oui, comme chroniqueur de dwars j’ai beaucoup d’influence chez les jeunes et je déplacerai toujours une pierre dans la rivière s’il y a une opportunité. Vous trouvez ça altruiste ? Je comprends ce que vous voulez dire. Dans le monde d’aujourd’hui ce n’est pas évident. Normalement j’écris sur cette page une chronique ingénieuse qui renforce ma réputation mondiale. Maintenant j’utilise ma renommée pour un but plus élevé.
Peut-être il y a encore des personnes qui sont sceptiques et qui pensent que lire une seule chronique en français ne fait pas de grande différence. Ces personnes oublient une chose importante. C’est une fonction de signale forte qu’une chronique beaucoup lue néerlandaise est d’un jour à l’autre en français. J’en suis presque sûr qu’il y a des lecteurs qui pensent maintenant qu’ils doivent connaître le français parfaitement s’ils veulent comprendre la chronique tweedecarrièrestudent aussi en futur et commencent spontanément à étudier le français.
On peut poser la question pourquoi étudier le français ? Ce n’est pas la question. Pourquoi vous ne le feriez pas ? Comme vous pouvez le constater, je récolte tous les jours les fruits de mes études de français. Le français n’est pas seulement la langue qu’on parle le plus en France. En Flandre, le français est aussi la langue la plus grande que les gens pensent pouvoir parler. Certes, à Anvers ex aequo avec le néerlandais standard. Oui, la grammaire. Mais le français est heureusement plus que le subjonctif présent. C’est aussi le subjonctif passé. Vous voyez, le français est très pratique dans la vie quotidienne.
Je vais être honnête : écrire une chronique en français n’est pas un petit sacrifice quand je pense à toutes les chroniques brillantes que j’avais pu écrire autrement. Mais j’oublie cela certainement si on a besoin de deux mains au lieu d’une pour compter tous les nouveaux étudiants de français en septembre, grâce à cette chronique. Voilà pourquoi je lance cet appel à tous mes collègues-écrivains : écrivez vos chroniques et livres en français. La vente de vos livres ne peut pas beaucoup diminuer et c’est une responsabilité de tous de mettre les jeunes en contact avec le français. Seulement ainsi ont-ils la possibilité de penser : c’est pas mal, le français.
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